Déprimé(e)? Adopte un chat.

De nouveau entendue sur Vivacité, cette fois, une autre théorie plus convaincante : la ronronthérapie.

Je sais, le nom te fait déjà lever les yeux au ciel mais assieds-toi deux minutes et écoute ta pote Chrys.

Donc, des chercheurs ont constaté que les chats ronronnent lorsqu’ils sont blessés.

Ils ont aussi constaté qu’ils guérissent plus vite que les autres animaux…

Eeeeeeeeeet… reste assis je te préviens : ce sont les basses fréquences hertziennes du ronronnement qui hâtent la guérison!

Après tests, à intervention égale, le chat a 5 fois moins de séquelles que le chien.

Enfin, les séquelles sont bénignes quoi…

Je vous passe les longs détails scientifiques mais cette fois, à la différence de l’habitathérapie, j’ai trouvé un énorme paquet de divers articles scientifiques qui confirment tout ce charabia.

Le tout aboutit à l’idée que ton matou, quand il se tape sur tes genoux (oui même en te cachant l’écran de ton PC), il veut ton bien.

Le chat te permet donc de diminuer ton stress et de favoriser ton endormissement.

Pour les allergiques, on a poussé le vice à enregistrer des CD de ronronnements. (Mais là, je doute un peu, cela dit, je suis Mme Scepticisme)

Pour vous raconter une fois de plus notre vie, nous avons deux exemplaires félins à la maison : Elise (du nom de la meilleure amie de Lola à l’époque, elle avait trois ans, elle a insisté) et Tom (parce qu’on voulait qu’il y ait un petit Tom chez nous, hum)…

Elise est amour ronronnant, collant et un peu lourde.

Elle a une fâcheuse tendance à oublier de ranger sa langue…

Tom est un petit con qui ne ronronne pas.

Petit, il devait plus ou moins ressembler à ceci…

Déduction? Tom ne nous aime pas. Il souhaite qu’on ne guérisse de rien et qu’on décède sans sommeil d’atroces douleurs.

Voilà.

Cela dit, si ton chat est sympa et que tu es un chouïa tendu(e), assieds-toi (oui, c’est un article où on s’assied énormément), appelle-le et laisse-toi faire.